La nouvelle route Oloron -Lescar est vitale pour l’avenir du Haut-Béarn, le projet doit aller d’urgence à son terme sur la bande des 300m actuelle, selon Béarn Adour Pyrénées (BAP)
Le comportement de certains opposants à ce projet est pour le moins inconséquent, au pire destructeur. Qui sont les responsables de 95% du gel des terrains sur la bande de 300m entre Oloron et Lescar sinon ceux qui ont empêché sa réalisation depuis des années. Si la route était faite, seuls les 5% nécessaires auraient été occupés et le reste serait libéré depuis longtemps pour le plus grand bonheur des agriculteurs, des promeneurs, des ramasseurs de champignon et de tous. Peut-être ceux qui menacent d’attaquer le Conseil Départemental tentent-ils de faire oublier leur outrecuidance. À moins qu’ils n’aient des projets de lotissement sur tout ou partie de l’emprise foncière actuellement gelée. Ce qui serait le comble du mépris au bon sens. Qui subit les conséquences de l’ absence de nouvelle route: les habitants de Cardesse, Monein, Lasseube, Lacommande,…. qui voient leur patrimoine dévalué, leurs routes surchargées, détériorées, effondrées, coupées parfois pendant des mois, les salariés et entreprises d’Oloron qui sont pénalisés par l’enclavement, les lecteurs qui sont désinformés alors que tout le monde sait que la réalisation indispensable de cette route peut coûter moins de 200 millions d’euro d’ argent privé, avec un impact écologique très positif. Bref, Béarn Adour Pyrénées exhorte le Conseil Départemental, qui a toujours été favorable à cette nouvelle liaison, à tout faire pour que la bande des 300m soit maintenue sur tout le trajet prévu à l’origine et pour que le projet soit réalisé sans délai. Il y va de l’avenir économique du Haut Béarn et de la sécurité des riverains et des usagers des routes actuelles.
Pierre Saubot,
Président de Béarn Adour Pyrénées
On voit bien que des internautes considèrent un avis différent au leur davantage comme une agression personnelle…. que comme un éventuel enrichissement personnel. C’est pourquoi, à défaut de pouvoir présenter des arguments en contrepartie, on met sur le tapis votre domiciliation, votre activité professionnelle,ect… On propose même de me dépayser en Espagne. C’est une démarche petit bras.
« On propose même de me dépayser en Espagne. »
Bah, c’est mieux que la Corée du Nord ou le Salvador !
Réponse à Manaut ( commentaire du 8 février à 15h13: ne vous inquiétez pas pour moi. J’en ai vu d’autres. Je me demande même si certains contradicteurs ne manient pas l’humour, décalé certes, mais l’humour tout de même. Alors gardons le sens de l’humour, surtout
Je partirais bien en vacances en Espagne avec vous plutôt que de rester en France avec lui …
J’avais posé une question il y a déjà quelque temps :
Est-ce que BAP serait prête à s’engager en faveur d’une régulation du trafic poids lourd par le Somport, notamment une interdiction totale du trafic longue distance/non local ? Car en l’absence d’une telle régulation, un nouvelle route Pau-Oloron constituerait un aspirateur à camion de/vers la vallée d’Aspe et l’Espagne. Certes, Alienor qui exploite l’A65 n’attend que cela pour booster le trafic de l’A65, mais BAP n’a pas de tels intérêts, n’est-ce pas ?
Je ne pense pas que vous ayez posé la bonne question à BAP. Le silence de BAP à votre question a valeur de réponse.
Réponse au message de PierU du 7 février à 19h36 et de Michel Lacanette du 8 février à 8H57 : la régulation dans le tunnel du Somport existe déjà. Elle est très contraignante. La RN 134, même avec les déviations demandées à juste titre et indispensables à très court terme, est aussi un régulateur naturel. Il serait démagogique et irréaliste de demander plus. Comme il est abusif de parler d’aspirateur à camion et de murs de camions.. La position de BAP est constante. BAP n’a jamais été silencieux sur ce sujet; il suffit de lire toutes nos publications régulières sur ces sujets.Non BAP n’a aucun intérêt des les sociétés autoroutières qui , pour des raisons de risque de conflit d’intérêt ne sont pas adhérentes de BAP. BAP est libre et ne défend que les intérêts du Béarn , des territoires voisins et de ses habitants.
A ma connaissance la « régulation » au Somport est essentiellement technique (relative par exemple aux matières dangereuses dans le tunnel). Je parle d’une régulation du volume du trafic, voire d’une interdiction complète du trafic longue distance, ce qui n’est pas la même chose.
Quant à la « régulation naturelle de la RN134 », en demandant de nouveaux aménagements voire une nouvelle route, vous ne faîtes que l’affaiblir. Tout le monde sait que mécaniquement, le temps gagné sur un itinéraire se traduit toujours mécaniquement par des reports de trafic vers cet itinéraire. Et vous le savez très bien. Une Pau-Oloron qui ferait gagner 20mn aux camions arrivant par l’A65 convaincrait une partie de ceux qui actuellement préfèrent passer par la côte. De même que tout aménagement dans la vallée qui ferait gagner 5mn par ci, 5mn par là…
Donc contrairement à ce que vous affirmez, oui une Pau-Oloron nouvelle serait un aspirateur à camions vers le Somport. Et vous cautionnez cela en répondant qu’il serait « démagogique de demander plus ». Cela ne m’étonne pas, car la rentabilité économique d’une Pau-Oloron nouvelle n’est probablement possible qu’en tablant sur une augmentation du trafic longue distance de/vers le Somport. Donc vous savez que demander une forte régulation pour contrecarrer l’effet « aspirateur » reviendrait un plomber le projet.
Je m’en doutais, mais ça va mieux en le disant.
Belle démonstration que BAP ne veut surtout pas entendre.
réponse à PierU ( 13h32) et Michel Lacanette ( 16h59: très heureux de voir que vous êtes d’accord avec vous-même; c’est la moindre des choses. Nous , cela ne nous dérange absolument pas de lire des choses avec lesquelles nous ne sommes pas d’accord .
La question est à la fois simple et complexe: faut-il sacrifier la vallée d’Aspe (par le traffic international de poids lourds induit) pour fournir à Oloron un accès rapide à l’autoroute à l’A64 / A65 via un tunnel ? Je n’ai pas d’avis tranché sur la question.
Par contre, je sais qu’il existe une multitudes de « petites » choses à faire (qui, au total, équivalent à un grand projet) pour construire l’avenir et que ces choses ne sont pas réalisées.
» Par contre, je sais qu’il existe une multitudes de « petites » choses à faire (qui, au total, équivalent à un grand projet) …..
Tout à fait d’ accord avec vous, mais le problème de ces petites choses, équivalentes à un grand projet,c’ est qu’ elles ne sont pas très consommatrices de béton et de goudron, donc elles n’ intéressent pas beaucoup les grosses entreprises du BTP et autres aménageurs en puissance.
D’autre part ces aménagements là pourraient être réalisés par des entreprises locales, avec des retombées économiques locales, ce qui ne ferait pas plaisir aux grandes entreprises.
Parmi ces aménagements il pourrait y avoir effectivement un tunnel sous Bélair, qui pourrait « lisser « le profil collinaire de la RN 134 et améliorer la circulation hivernale, ainsi que la sécurité routière. Mais également, on pourrait aménager une route parallèle à la voie ferrée entre le croisement d’ Herrère/Ogeu et l’ entrée d’ Oloron Ste Marie
( croisement Borderouge).
Cela permettrait la suppression des cotes du Gabarn et de Priou, ainsi que le » plus petit rond-point du monde » à l’ entrée actuelle d’ Oloron. Rond-point tant décrié par tous nos élus Oloronais et qui a donné naissance à deux projets de contournement d’ Oloron.
Un en cours de réalisation et totalement inutile ( déviation dite du Gabarn) et l’ autre en projet ( déviation dite de Gabarn/ Gurmençon) qui va isoler la ville d’ Oloron de ses racines économiques et culturelles, pour en faire une ville désertée, sans enlever les PL du centre ville qui proviendront de Monein et de Bayonne. Seuls ceux en provenance de la RN134 seront supprimés.
Réponse à Michel Lacanette, message du 6 février à 13h09: ce message mérite un débat complet. Je suis prêt à rencontrer M. Lacanette pour le faire. Nous pourrons en publier la synthèse sur Alternatives Payrénées
« ce message mérite un débat complet ».
Ça a le mérite d’ être clair, en effet depuis 30 ans il n’ y a jamais eu de débat, pas plus que d’ étude technique, économique de faisabilité, encore moins d’ étude d’ impacts environnemental et sociologique.
Il y a quelques années le CR avait débloqué 2,5 millions d’ euros pour qu’ une telle étude soit réalisée, mais à ce jour point de résultat publié, du moins à ma connaissance.
Ce débat doit avoir lieu, non pas entre un particulier et un Président d’ association, mais avec toutes les parties prenantes de cette affaire. ( Etat,UE, CR, CD, Ministère de l’ Environnement, Associations, Riverains et Usagers, les Agriculteurs)
La base de cette étude globale du trajet Pau/ Canfranc, doit être un comparatif entre le moyen routier, le moyen ferroviaire,le réaménagement de la RN134, la nouvelle liaison routière Pau/ Gurmençon,et comme critères à respecter, les engagements de la France par rapport à la COP 21, ainsi que la prise en compte de l’ impact des particules fines sur les personnes et l’ environnement.
Si demain BAP demande aux autorités que cette étude soit lancée et publiée et qu’ au de là un débat soit engagé avec toutes les parties prenantes pour faire évoluer rapidement cette affaire, je serai tout à fait d’ accord pour signer votre demande.
Réponse au message de M. Lacanette du 8 février à 17h56:
façon presqu ‘élégante, mais qui ne trompe personne, de refuser un débat entre vos idées qui ne sont pas toujours triées dons difficile à suivre et les idées de BAP qui sont claires et constantes. Cela vous ferait-il peur??? Comment pouvez-vous affirmer qu’il n’y a pas eu d’études depuis 30 ans? BAP n’a cessé de prôner des études , d’en faire et de les analyser. pour en tirer des conclusions d’ action. Et même si une étude n’est pas publiée ( on se demande pourquoi), nous avons suffisamment de faits pour débattre entre nous. devant un modérateur qui pourra faire le compte-rendu..Ne vous défilez pas, si vous êtes sûr de vous.
A lire vos derniers propos, je pense que vous vous considérez propriétaire des finances publiques et à ce titre vous pensez en disposer à votre guise. Mais la réalité est toute autre, car d’ autres urgences bien réelles pour l’ amélioration de la vie quotidienne des citoyennes et citoyens sont à prendre en compte par nos responsables, avant vos soucis mineurs de l’ avenir de votre nouvelle route Pau/ Gabarn.
De plus, vous niez les engagements bien réels de notre pays à la COP21, ainsi que les impacts des particules fines sur l’ environnement ( végétaux, qualité des eaux ) et les humains. ( PM: Toutefois,40000 morts estimés par an en France, ce qui n’ est pas anodin avec son coût à supporter par la collectivité)
Je pense que vous n’ êtes pas dans une logique constructive, mais dans un déni de démocratie, car d’ autres personnes, toutes aussi responsables, que vous et BAP, ont aussi des choses importantes à dire.
Il est très regrettable que vos propos laissent transparaitre une position de provocation.
Par principe, je ne répond jamais à ce genre de propos stériles, qui risquent d’ envenimer le débat démocratique, qui devrait être.
Donc pour moi, le débat est clos, je confirme que je ne donnerai pas suite à proposition qui n’ a aucune base crédible sérieuse.
Par contre, si un jour il doit y avoir débat, avec l’ ensemble des parties prenantes, ça sera comme je l’ ai déjà dit sur la base d’ une étude constructive globale, sur l’ ensemble des moyens de déplacements des marchandises et des hommes entre Pau et Canfranc.
Tant que ce travail n’ aura pas été réalisé et que les critères nouveaux ( COP21 et impacts des particules fines) n’ auront pas été pris en compte aucun débat ne sera possible.
Réponse à M. Lacanette ( 9 février, 9h06) : dont acte. C’est vous qui bottez en touche, tristement.
Cela dit, l’argent n’étant pas illimité, c’est vrai qu’il y a un choix à faire entre une nouvelle route Oloron-Lescar et d’autres aménagements…
Non , il ne faut pas choisir. L’argent est abondant et pas cher pour financer des projets rentables et créateurs d’emploi localement pendant les travaux et après
Réponse à RdV , message du 6 février à 10h20: je ne vois pas en quoi le passage de quelques camions de plus , avec les déviations demandées, serait une façon de sacrifier la vallée d’Aspe. Cela permettra , au contraire , de sauvegarder quelques emplois. Arrêtons les clichés qui ne correspondent pas à la réalité observée dans d’autres vallées.
Oui , il y a beaucoup de petites choses à faire en plus. BAP les a identifié, sauf oubli à nous signaler, et fait ce qu’elle peut pour les faire avancer. Voir notre site.
correctif de mon message du 8 février à 12h01: désolé pour la faute d’orthographe vers la fin du message: …. BAP les a identifiées,….
Je voulais parler d’incompatibilité entre voie de communication majeure (axe européen E7) et développement touristique. Mais, il semble que la vallée d’Aspe ait fait le choix, depuis longtemps (ou plutôt, les choses ont été ainsi) de l’industrie et du transit plutôt que du développement touristique (qu’un lac dans la plaine de Bedous aurait créé cf vallée du Louron). Il y avait Toyal et ses 300 emplois. Bien sûr, c’est pas une paille. La dernière ourse pyrénéenne, symbole de nature sauvage y a été tuée (quasiment impunément, d’ailleurs).
D’un autre côté, l’avenir de la planète exige une diminution du traffic routier, et notamment de celui des camions…
Enfin, je vous accorde davantage de crédit sur ce sujet que sur un barreau MdM-Pau totalement en dehors des normes de financement d’une LGV.
Faire gagner 15 minutes à Oloron dans son accès à l’autoroute, c’est beaucoup.
Réponse à RdV ( 8 février 16h39:Merci. il n’y a pas incompatibilité. Joignez-vous au débat que j’ai proposé à M. Lacanette, en l’ordonnant de façon rationnelle et constructive.
De toutes manières, pour la mise en valeur de la plaine de Bedous et de son cadre, c’est déjà raté… Reste principalement Lescun, qui, par chance, se trouve en dehors de l’axe. Donc, OK, peut-être que cela ne changera pas grand-chose au niveau touristique. Par contre, l’argent public n’est pas illimité et là, je persiste dans le fait qu’il faudra faire des choix…
réponse à RdV (8 février, 23h13): quand je parle d’argent, il ne s’agit pas d’argent public.L’avantage de l’argent privé , c’est qu’il s’investit avec étude de rentabilité et qu’il rapporte des impôts , donc diminue l’endettement du pays. Cercle vertueux.
Une fois de plus, BAP, depuis 30 ans pour justifier ces projets routiers que sont la liaison Pau/ Gabarn et le contournement d’ Oloron Ste Marie, fait l’ amalgame entre le trafic routier local et le trafic routier international. Seul le trafic routier international intensif pose problème, d’ autant qu’ il n’ est pas acceptable dans la traversée de l’ étroite et encaissée vallée d’ Aspe. Ces projets, seront de véritables aspirateurs à camions pour justifier
d’ autres aménagements bien plus importants qui en découleront, notamment en vallée
d’ Aspe
Ce n’ est pas au CR ou au CD du 64 de s’ occuper de ces affaires de projets routiers,
car ils ont d’ autres affaires plus urgentes à s’ occuper qui concernent directement la vie quotidienne des citoyens.( Emplois, Agriculture, Aides sociales Education, Formation, Sécurité routière, etc ,etc …)
C’est à l’ UE de s’ occuper de cette affaire, car la libre circulation des biens et des personnes relève de sa responsabilité, au travers de la directive européenne 2004/38/CE.
En conséquence, elle se doit de donner les moyens financiers de mettre en oeuvre cette directive, au travers de moyens soutenables au regard des engagements de notre pays à la COP21. Ce d’ autant plus que la RN134 est classée axe européen E7.
La seule solution acceptable, soutenable et durable est la remise en service, le plus rapidement possible, de la voie ferrée Pau / Canfranc(Es) pour le trafic des marchandises du transport international. A ce moment là, ces projets routiers ne se justifieront plus.
Seul le réaménagement notable de la RN134, sera suffisant pour répondre aux besoins locaux.
Il serait plus qu’ urgent et sage, que ces projets routiers vieux de 30 ans, soient remis
à plat et qu’ une étude comparative entre le ferroviaire et le routier soit lancée sur la totalité du trajet Pau / Canfranc, sous la responsabilité de l’ Etat responsable de la RN134, de l’ UE responsable de l’ axe E7, mais également du Ministère de
l’ Environnement et non des Collectivités locales.
Je ressens comme du dépit dans cet article.
Dans l’actualité, je relève :
1. Ce soir à 19H à Orthez, l’AG de l’association Orthez LGV-OUI qui milite pour l’amélioration de la ligne existante Dax- Orthez-Pau.
Une concertation est engagée de façon à consulter le public et recueillir ses observations sur les propositions d’aménagement de la RN134 entre Belair et Oloron. Elle se déroulera du 08/02 au 08/03 et sera suivie d’un Enquête publique.
Deux projets sur la rénovation de l’existant. Il en aura fallu du temps.
Réponse au message de Larouture du 5 février à 22h04: uniquement de la constance, de la résolution et de la combativité, en dépit de toutes les contre-vérités qui sont répandues sur notre action. Nous sommes rarement contre les autres projets. Il nous arrive d’avoir un sens de la priorité différent
Je ne vois pas comment on peut échapper à un deuxième itinéraire entre Oloron et Pau. Cet axe routier est saturé: çà roule à la queue leu leu lors du ramassage de maîs ou du raisin. Il faut compter aussi sur la déferlante des voitures revenant des stations de skis. Quelle différence avec l’Espagne dont l’autopiste arrive gratos à Jaca.
Vous n’ êtes pas considéré inapte aux nouvelles technologies?
Ce fut une excellente promotion chanceuse pour beaucoup de retraités de ces dernières années proches de chez vous!
Si ça avait pu m’ arriver à l’ époque!
Mr Manaut, si vous avez des problèmes de circulation de ce coté-ci de la frontière, rien ne vous empêche d’ aller vivre de l’ autre coté, d’ autant que c’ est gratuit à vous lire et de plus avec le soleil en prime.
Réponse à Michel Lacanette, message du 5 février à 22h11: je préferre voir le Béarn plus accueillant. J’espère que votre expression a dépassévotre pensée. Personnellement , je souhaite que Mr Manaut reste en Béarn et s’y sente bien
Mr Saubot,
Bonjour,
Puisque vous avez bénéficié PERSONNELLEMENT, tout récemment, au domaine CINQau des retours de bourse de Warren via son établissement local et pendant les heures travaillées:
Demandez lui plutôt de nous amener les pépites de la Silicon en matière digitale:
La VALEUR amenée sera toute autre et COLLECTIVE pour le Béarn (et pour la France)!
Vous voyez, les idées circulent sans même se connaître….
Réponse au message de Henri IV 3/4 du 5 février à 16h44: je ne comprends pas votre message. Sachez que je ne mélange jamais mon action au profit du collectif et des questions personnelles.. Vous n’êtes pas crédible en le faisant.
Bonsoir Me Saubot,
Je ne suis pas crédible SI JE LE FAIS: Restez en à votre Creuset de Manufrance et son don d’ubiquité!!!!
Ne me provoquez pas sur ma crédibilité QUOTIDIENNE OLORON- LESCAR.
Permettez moi de « DEBANDER » de la je(u)nte féminine ardemment conquise sur le piedMont et couchant dans les Chaumes.
ATOLL a de beaux jours devant lui et suivez » l’addition s’il vous plaît »
TIMEOUT and STORE!!!!
Comme dit la chanson populaire : « …. et des souliers lilas, la, la et des souliers lilas. »;
ou Courteline: » Il pleut des vérités premières, tendez vos rouges tabliers ».
Il est étonnant que M Saubot qui a pourtant fait preuve dans sa vie professionnelle de beaucoup de perspicacité et d’efficience se trompe à tel point sur cette Pau Oloron aujourd’hui à l’abandon.
Les mauvaises langues diront qu’il en est de même pour le combat perdu d’avance de la LGV à Pau. Serait ce donc le fait d’être un lobby, qui perturbe à ce point le jugement de BAP ?
Concernant la Pau Oloron je conseille la lecture de l’article ci dessous, publié sur AP, toujours d’actualité lui .
http://alternatives-pyrenees.com/2012/02/27/pau-oloron-cest-la-route-actuelle-quil-faut-ameliorer/
Réponse au message de Daniel Sango du 5 février à 13h34: merci de nous avoir rappelé cet article: il n’y avait pas grand chose de juste il y a 4 ans. Il en reste encore moins maintenant. J’espère que nous allons gagner notre combat le plus vite possible et que la justification de nos demandes sera tellement éclatante dans tous les domaines, écologique, économique, moral que l’opinion publique pourra juger qui était perspicace