La course présidentielle a toujours donné lieu en France a des candidatures « originales », et cette année, le Béarn présente Jean Lassalle. On connaît les tocades de l’élu de la vallée du Lourdios, de sa chansonnette à sa grève de la faim à l’Assemblée Nationale ou son insolite tour de France à pied.
Lancé dans une improbable candidature à la présidentielle, il avait décidé de rassembler ses soutiens à Lyon, et La République nous permet, grâce à la vidéo ci dessous, d’avoir une vision plus claire de son programme :
http://video.larepubliquedespyrenees.fr/jean-lassalle-galvanise-ses-troupes-a-lyon_x4wttkl.php
Cette vidéo pose néanmoins plusieurs questions :
Pourquoi avoir choisi Lyon alors qu’Asasp aurait été beaucoup plus économique pour les participants ?
Plus sérieusement, quelle image est donnée aux français par ce genre de prestation venant d’un député élu et ré élu depuis des années ?
Quelle est la motivation des Basques et Béarnais, citoyens de sa circonscription pour donner mandat à un tel « curieux » personnage ?
Finalement, la démocratie permet beaucoup, et c’est très bien, Jean Lassalle dépassera t il Coluche ?
Sur les bords de la Tamise, un beau soir d’été… bilibilibi bilibilibi oh la là ! …
Daniel Sango
Credit photo : Le Point.fr
« Sur les bords de la Tamise, un beau soir d’été », cela serait plutôt… « Ob-La-Di, Ob-La-Da » ;-)))
(The Beatles : « The White Album » : 1968)
Bientôt clown triste…
La Terre , la défendre et l’aimer , c’est le plus beau cadeau de la vie 🙂
Sur Médiapart :
https://www.mediapart.fr/journal/france/061016/jean-lassalle-ou-les-vieilles-ficelles-de-la-politique-autrement?utm_campaign=Quotidienne&utm_medium=email&utm_source=Emailvision&utm_content=20161006&xtor=EREC-83-%5BQuotidienne%5D-20161006
« Après ses chants béarnais dans l’hémicycle, sa grève de la faim et sa longue marche à travers la France, le député des Pyrénées-Atlantiques se lance à l’assaut de l’Élysée, fondant ce jeudi à Lyon son propre mouvement politique. Mais derrière le visage sympathique du centriste montagnard, se cache un piètre élu local. »
Dans la société du spectacle on applaudit les acteurs plus que les scénarios. Les spectateurs attendent Godot comme les cocus restent fidèles aux femmes qui les trompent. Et dans la salle, transformée en dancing, on chante les vieilles chansons, mais on ne lit plus les poètes. Parce que la culture est morte sous l’impact des immédiats, maître Sango. Pourtant elle était l’ultime providence pour sauver l’humanité de sa barbarie sordide.
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/rrose-selavy
Lassalle fait tourner l’étable !
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