Ceux qui ont l’habitude de la recevoir et de la consulter l’ont sans doute déjà remarqué : les trois dernières newsletters hebdomadaires n’ont pas pu être expédiées correctement. Seule une poignée d’abonnés a reçu deux d’entre elles, et la troisième n’a pas été expédiée du tout. La newsletter de ce lundi ne pourra pas non plus être expédiée.
Ces problèmes sont tout à fait indépendants de notre volonté, et sont de la responsabilité de notre prestataire technique qui gère le module de newsletter. Une solution pourrait être trouvée dans la semaine à venir, mais rien n’est moins certain.
En attendant, nous vous invitons à consulter régulièrement le site pour surveiller la parution des nouveaux articles. Vous pouvez également utiliser la fonction « SOUSCRIPTION AU BLOG PAR EMAIL » (voir en bas de page) pour être averti de chaque nouvel article : c’est une alternative à la newsletter hebdomadaire.
Le bureau d’Alternatives Pyrénées
Alternatives Pyrénées 
Très juste et bien dit.
M. Esposito nous embrouille autant que sa maîtresse à penser. Si ce qui est « très juste et bien dit » est le message de Karouge, il fallait appuyer sur le bouton « répondre ».
Vous ne vous arrêtez jamais, Marc ?
Non. Malgré les séances de psy et les AD, rien n’y fait.
En fait, les rédacteurs d’AltPy sont en grève. Ils ont tous rêvé d’être lus, commentés, et d’ainsi faire carrière dans le bénévolat le plus absolu. Mais beaucoup ont dû se résigner à pointer au Pôle Emploi des idées, à vivre pour certains dans de petites maisons de retraite malfamées, à reprendre un travail de veilleur de nuit dans un hôtel de passe. Mais ce sont de braves gens qui, face aux problèmes d’une technicité plus pointue qu’un coup de pied au cul, continuent à vous faire vivre un présent, des idées non-reçues, des faits et de possibles manières d’agir ensemble, pourvu que chacun y mette son grain de sel, sa cuillerée de sucre.
Lecteurs, évaluez cet article (les étoiles en haut à gauche) pour qu’AltPy reste l’ouverture des uns vis à vis des autres, qui sont uns et nous autres.
A chacun sa vérité
Bien à vous, lectrices, lecteurs !