Entre Emmanuel MACRON accablé de violentes critiques, qualifié d’arrogant, d’incompétent mais, dans le même temps, crédité de 70% d’opinions favorables par les militants et sympathisants… socialistes – une niaise polémique à propos d’une France évidemment majoritairement blanche et judéo-chrétienne depuis deux mille ans, qui, comme toutes les nations du monde aspire, tout aussi évidemment, à le rester le plus longtemps possible notamment à propos d’une religion qui, au nom de la tolérance nous imposerait d’accepter son intolérance – la décision présidentielle de bombarder … en Syrie ou en Irak pour lutter contre un terrorisme intérieur au risque d’en accroître la menace – et ici, tout près de nous, cheveu dans la soupe électorale, passant outre les avis négatifs de l’enquête publique et de la Cour des comptes mais avec la bénédiction de nombre de « responsables » politiques locaux, validation du très coûteux projet LGV d’une SNCF déjà au fond d’un gouffre financier abyssal, à seule fin, vers 2027, de « gagner »une ½ heure sur Bordeaux quand le temps nécessaire pour atteindre la gare de Pau s’accroît chaque jour – Et donc, en résumé, reprenant les propos de la Gauche qui, en d’autres temps avait dit de la Droite qu’elle était la plus bête du monde, on pourrait se demander si, à cet égard, « les mouches n’auraient pas changé d’âne » !
En réalité, non ! Car bien qu’à force de crier au loup, il ne fasse plus peur à beaucoup. Et que d’autres, de plus en plus nombreux également, las d’être pris pour des lapins-crétins, ne se déplacent même plus. A la faveur d’une majorité de plus en plus relative tant par le nombre de voix que la loyauté de ses « alliances », le petit monde labellisé « bien-pensance républicaine » sera sans doute réélu lors du prochain scrutin.
On pourra juste se demander pourquoi ? Pourquoi faire quoi ? Ou peut-être, dans la situation critique dans laquelle nous sommes, jusqu’à quand pourra t-il s’autoriser de valeurs républicaines, singulièrement celle d’une véritable démocratie, que sitôt élu il respecte si peu ?
- par Maurice Meireles – Pontacq